Laurent Poncelet : « Le festival du FITA, c’est le théâtre de la vie »
[Interview] La 12e édition du Festival international de théâtre action (Fita), engagé sur des thématiques sociales, vient de débuter à Grenoble. Rencontre avec son fondateur, Laurent Poncelet.
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« Le festival international de théâtre action revient du 8 au 24 novembre
Du 8 au 24 novembre, le Festival international de théâtre action (Fita), organisé en biennal, propose des pièces de théâtre engagées sur des problématiques de nos sociétés. Un festival qui, au-delà des thématiques, permet de véritables moments d’échange entre artistes et habitants, par l’intermédiaire des associations du quartier. Laurent Poncelet, directeur du festival, nous explique les spécificités de cette nouvelle édition. »
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« Les Mange-Cafard remontent sur scène au Théâtre Prémol »
La troupe des Mange-Cafard revient sur scène les 7 et 8 juin au Théâtre Prémol pour son nouveau spectacle. Dans un subtil mélange d’émotion et de rire, les comédiens espèrent surprendre leur public. La toute nouvelle création des Mange-Cafard, Y a-t-il un pour pour Marseille ?, met en scène des voyageurs dans une gare désaffectée, où les trains ne font que passer sans jamais s’arrêter. En lire plus …
Il y a 25 ans, Laurent Poncelet, alors en poste à Genève prend une décision radicale : quitter cette voie qui semble, pour beaucoup, pavée de roses, et se tourner vers l’art… Mais pas celui de l’élite et des salons feutrés. Celui de la réalité et de la précarité. En lire plus…
Qui sont les Mange-Cafard ? « Cette troupe, c’est d’abord une fabuleuse aventure, avec un groupe atypique. Ces personnes qui forment les Mange-Cafard arrivent le plus souvent bien abîmés, ils sont timides, fermés, loin des dispositions pour la scène. Et puis après des mois, des années, ils remplissent un théâtre ! C’est un vrai parcours de vie, pournous tous. Chacun d’eux est porteur d’un monde à part, d’une poésie : leur rencontre. En lire plus…
La première édition avait commencé à l’Espace 600 avec trois pièces de théâtre. L’idée de départ était double : proposer des thèmes en résonance avec l’actualité et amener un public qui ne venait jamais au théâtre. Progressivement, nous avons tourné avec de nombreux partenaires de l’action sociale : les maisons des habitants, le Codase, le Secours populaire, le Secours catholique…
En ce mois de novembre, on a rendez-vous dans divers lieux de Grenoble pour une nouvelle édition du Fita, Festival international de théâtre action créé il y a tout juste 20 ans par la compagnie Ophélia Théâtre. Rencontre avec son directeur Laurent Poncelet, et zoom sur trois spectacles de la programmation.
« Le début d’une histoire qui a changé la vie de tous », raconte Laurent, encore ému. Car, en acceptant de venir ensuite assister à leur atelier théâtre pour leur dispenser quelques conseils, il a en fait créé une véritable troupe : les Mange-Cafard.
Debout Ensemble de Laurent Poncelet aux éditions Nouvelle Cité. 19 euros. En vente dans toutes les librairies.
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Une musique venue de loin fait effraction dans la salle. Par les portes latérales, surgissent des musiciens au sourire radieux et à l’allure déterminée. Les notes jouées se mêlent aux cris en portugais de leurs partenaires, disséminés sur scène et parmi le public, intrigués par ce raffut heureux. Les responsables? Douze jeunes hommes et femmes venus des favelas de Recife, au Brésil. Ces jeunes comédiens ont grandi dans cet univers, marqués par la pauvreté, l’exclusion et par les discriminations subies en raison de leur couleur de peau En lire plus…
Avant même de s’asseoir dans les fauteuils rouges de l’espace Paul-Jargot, on y est, au Brésil. Les douze comédiens brésiliens naviguent et jouent avec le public, l’interpellent, et déjà, la musique. Tout au long de Roda Favela, le dernier spectacle de Laurent Poncelet, la troupe joue en direct sur des instruments traditionnels, percussions et berimbau, cet arc musical qui rythme la capoeira. En lire plus…
Chaque semaine, le cinéma parisien Saint-André-des-Arts diffuse, dans le cadre de son cycle « Découvertes », des films « sauvages », réalisés avec des moyens réduits. Forcément inégale, la programmation réserve parfois de petites surprises, comme Juste Sam et Des gens passent et j’en oublie, films stimulants autour de la précarité. En lire plus…
« C’est tout le talent inné de ces jeunes, et celui de Laurent Poncelet, de réussir à mettre en scène la loi de la favela sans la caricaturer. […] Le spectacle est un don. » En lire +
« Une chose est sûre c’est qu’ils ont au creux du ventre un insatiable désir de liberté exacerbé par une énergie vitale phénoménale. Privilège de la jeunesse, sans doute, et pas seulement car l’esprit traverse ces jeunes danseurs indomptables. Il est plein d’une mémoire qui les dépasse, c’est la mémoire esprit corporelle, celle qui se manifeste lorsqu’en dansant, leurs corps palpent l’invisible et ce faisant oublient les frontières, les vieux barreaux d’un monde sans âme. » En lire plus
« La terre est tachée de sang ! » La plainte répétée fait naître un sentiment d’angoisse. La pénombre se fait. Clamés sur scène ou depuis les ponts dominants les tribunes du théâtre, les cris résonnent et glacent par leur violence. Débute une pièce déroutante. Pas l’histoire d’une vie, l’histoire de la Vie. Pas celle d’un homme, celle de l’Homme. Un enchaînement de cris. Cris de colère, de désespoir, de résistance. Cris extatiques, d’amour, de confiance. Les mots frappent comme des coups de poing. Loin de la psalmodie. Tous sont pourtant tirés de la Bible, dans la traduction littéraire proposée par Bayard dont « la musicalité, la fluidité, la rythmique » se prête au projet de Laurent Poncelet. En lire +
« Un cri d’espoir émouvant, qui fait frissonner au vu de l’actualité. Au rythme haletant des congas et djembés, les corps sont presque possédés. Ils se brisent les uns contre les autres, dans une sorte de chaos contrôlé. Dans ce spectacle engagé, d’une énergie rare, le metteur en scène Laurent Poncelet mêle admirablement danse, musique et théâtre. Une merveille. » En lire plus
« Cru, réaliste et sous tension, Magie Noire frappe juste et fort, avec la puissance d’un uppercut (…) époustouflante et plein de sens. » En lire +
« Un spectacle poignant, démesuré, où la nature l’emporte sur le cérébral pour ne pas expliquer, pour suggérer seulement que l’être n’est pas une big machine. » En lire +
« Avec des musiciens, des comédiens venus des favelas du Brésil, des quartiers pauvres de Casablanca, des rues du Togo et des artistes réfugiés politiques de Syrie, Laurent Poncelet sublime les frontières, offrant un spectacle gonflé de l’énergie des périphéries du monde » En lire plus
En mai prochain, nous aurions pu découvrir Roda Favela, nouvelle création du metteur en scène Laurent Poncelet interprétée par « des jeunes artistes des favelas de Recife au Brésil ». Un spectacle qui, après des mois de travail tant au Brésil qu’en France, aurait dû tourner pendant un mois dans l’agglomération grenobloise mais également ailleurs en France, en Italie et en Belgique. En lire plus
La compagnie Ophélia Théâtre, en partenariat avec O Grupo Pé No Chão, composé de jeunes issus de favelas de Recife a permis ce mercredi 4 mai aux Voironnais de tous âges de découvrir la culture brésilienne. La journée a été menée par le service jeunesse de la Ville de Voiron En lire plus…
Avant votre spectacle à découvrir au théâtre de Thionville, le 21 mai,les douze membres de Roda favela rencontreront des jeunes thionvillois. Quels sont le programme et le but de cet échange ? « On a prévu, vendredi, un repas sur le modèle de l’auberge espagnole puis des discussions. Nous serons présents pour faciliter les échanges. En principe, malgré la barrière de la langue, la glace est rapidement brisée. Samedi, on proposera des ateliers de danse. Ces rencontres font partie intégrante de ma démarche artistique. Avec ma compagnie Ophélia, créée en 1996, on souhaite irriguer les territoires, toucher les jeunes, en facilitant l’accès à la culture. Samedi soir, ils seront invités à voir le spectacle. » En lire plus…
Vendredi, le public du Coléo a assisté à un spectacle très particulier, par sa conception et l’origine des artistes : des jeunes des favelas brésiliennes. Après un début au milieu des spectateurs, où les artistes s’apostrophaient à travers la salle, la pièce Roda Favela, présentée ce vendredi au Coléo, a été une succession de temps calmes, tristes ou affectueux, et électrique, voire évocateurs de violence. Sur les modules de décor ont défilé des vidéos dans lesquelles on retrouvait les artistes sur scène dans leur contexte brésilien. Les percussions et la danse ont occupé une grande partie du spectacle. En fin de soirée, un moment d’échange a eu lieu entre le metteur en scène Laurent Poncelet et le public. Il a révélé que les artistes avaient en moyenne 20 ans et qu’ils avaient tous vu, au Brésil, le spectacle Magie noire, créé en 2010 au Coléo. En lire plus…
Organisé dans le cadre du premier Festival des cultures urbaines de Voiron, le spectacle Roda Favela de la compagnie grenobloise Ophélia Théâtre aurait du etre accueilli l’an passé au Grand Angle. C’est donc avec impatience que l’attend le directeur Vincent groupe de jeunes Brésiliens, «artistes en voie de professionnalisation issus des favelas de Recife » et membres d’une structure d’apprentissage pour différentes disciplines du spectacle (Grupo Pé no Chão). Une proposition pluridisciplinaire « entre danse hip-hop, capoeira, qui touche parfois un peu a la transe » En lire plus…
Ils sont cinq hommes dans ce film1 : Gaspard, Fred, Polo, Bob, Pierre-Henri Brahim, tous dans des rôles de marginaux, plus un : le banquier, et quel banquier !… Six hommes donc, pour nous étonner…, et deux femmes non moins mystérieuses. En lire plus…
L’auteur et metteur scène Laurent Poncelet, revenu dans son bassin de Longwy natal pour des pièces de théâtre spectaculaires ou touchantes (Présence pure, Magie noire, etc.), présentera début mars son nouveau film de fiction. L’homme est en effet aussi réalisateur. En lire plus…
Le metteur en scène Laurent Poncelet (compagnie Ophélia Théâtre) a l’habitude de livrer des spectacles hors normes. Notamment avec son groupe Les Mange-Cafard qui a une composition atypique, avec des membres aux origines sociales diverses, souvent en situation de fragilité ou d’exclusion sociale. D’où le titre de cette nouvelle création dans laquelle on croisera sûrement par mal de personnages forts en gueule. En lire plus.
Ils ne pas acteurs professionnels et pourtant, une fois sur scène, ils prennent leur rôle très au sérieux. Laurent Poncelet, directeur artistique de la compagnie Ophélia, retrouve ses comédiens amateurs du groupe “Mange-cafard” pour une nouvelle création présentée ces vendredi et samedi au Théâtre Sainte-Marie-d’en-Bas à Grenoble. En lire plus.
Les Rois de la rue est la dernière création des Mange-Cafard, groupe pilote de la démarche de création collective, menée par Laurent Poncelet et la Cie Ophélia Théâtre. (…) Cela donne un spectacle corrosif, déroutant, hors-norme, qui ne laisse personne indifférent. Le jeu est plein de vérité car les comédiens ne trichent pas. Quelque chose d’essentiel et d’urgent se place sur le plateau. En lire plus.
« Présences Pures, la maladie d’Alzheimer sous le regard du poète ». En lire plus.
Le jeudi 4 avril, à 20 h 15, le cinéma Le Club, à Grenoble, vous invite à découvrir la comédie sociale déjantée Des gens passent et j’en oublie. Réalisé par le directeur artistique de la compagnie grenobloise Ophélia Théâtre, Laurent Poncelet, ce film de 55 minutes a été tourné, caméra à l’épaule, dans l’agglomération. En lire plus.
Laurent Poncelet a réuni des acteurs amateurs dans son film “Des gens passent et j’en oublie”. L’occasion de redonner confiance à des gens chahutés par la vie. Il y a de la fierté dans leurs yeux. « Quand les gens vous applaudissent, ça vous donne des larmes », lance Sylvia. Sa gouaille ne cache pas l’émotion qu’elle ressent une fois sur scène. À 70 ans, et après pas mal d’années de galère et de souffrance, elle vient de tenir son premier rôle au cinéma En lire plus.
« Et revoici le Fita dont la neuvième édition se déroulera du mercredi 14 au samedi 24 novembre dans divers lieux de Grenoble et de l’agglo. Avec, comme à chaque fois, un florilège de spectacles militants (huit cette année) que Laurent Poncelet, metteur en scène de la compagnie Ophélia Théâtre qui pilote l’événement, nous présente. » En lire plus
« Pour cette édition, chaque spectacle est basé sur une collecte de témoignage, mettant en lumière l’autre, celui qui pourrait être notre voisin et que l’on ne connaît pas. Chaque création évoque les destins les plus fragiles dans les zones les plus oubliées de notre territoire. » En lire plus
« Porté par la compagnie grenobloise Ophélia Théâtre, le Festival international de théâtre action (Fita) défend un théâtre basé sur des témoignages et des récits de vie, qui nous donnent à entendre les combats, les souffrances et les rêves des hommes d’ici et d’ailleurs. » En lire plus
« Sujet grave et pièce pourtant légère. Dominique Lurcel en metteur en scène délicat a obtenu un bel équilibre en conjuguant la parole profonde, humaine, poétique de Christian Bobin – c’est Laurent Poncelet qui la porte avec sensibilité -, les belles voix d’Elise Moussion (qui chante et raconte) et d’Emmanuel Thil, laquelle joue aussi de plusieurs instruments (piano, guitare, ukulélé, carillon, compendium…) Ce beau montage sobre et raffiné permet d’aborder en douceur la terrible maladie d’Alzheimer, qui efface tous les repères. » En lire plus
« Merci » : c’est le mot qui court en murmure partout dans la salle à la fin de cette représentation hors du temps (…) C’est léger comme une goutte de pluie, comme un flocon de neige. C’est léger comme une main tendue, un sourire partagé. C’est profond comme la vie, comme les questions qu’elle ne manque pas de poser, qu’on ait ou non un parent Alzheimer. La poésie du texte de Christian Bobin, c’est celle de toute relation humaine vraie, dégagée de tout le vernis social, celle du cœur-à-cœur. La relation qui atteint à l’essentiel de l’être et de l’intensité de la présence au moment même où la conscience semble sombrer. Touchant et authentique. En lire plus
« Un texte très fort que la compagnie Ophélia Théâtre et son chef Laurent Poncelet portent sur le plateau dans une mise en scène sobre qui laisse s’exprimer toute la poésie de Bobin. » En lire plus
« On est parti du fait que ces artistes d’ailleurs avaient tous quelque chose à dire, à raconter. Ce sont leur parcours et leur expérience de vie qui créent une énergie rare » En lire plus
« Tous les artistes viennent d’endroits du monde qui ne sont pas anodins : les favelas du Brésil avec l’exclusion et la violence, la Syrie bombardée, etc. Ils en ont dans le ventre. » En lire plus
« Aux confluences de la danse et de la musique, Les Bords du monde – volet 2 parle des périphéries du monde, de ce cri du bout de la planète qui soulève les corps et les met en mouvement. Pour parler de l’exil, des migrations, des frontières géographiques ou sociales. » En lire plus
« Natif de Mont-Saint-Martin (en 1969), le metteur en scène Laurent Poncelet est devenu une figure du monde du spectacle vivant français. » En lire plus
« Ce spectacle est un véritable cri de révolte et d’espoir, celui des déshérités et des exclus. » En lire plus
« Ils viennent des favelas de Recife au Brésil, sont des anciens enfants des rues du Togo ou de Marrakech. Ils ont fui les bombes syriennes et livrent, avec la rage et la colère de l’impuissance, un formidable cri du coeur balayant clichés et idées toutes faites. » En lire plus
« Il est des spectacles qui secouent, ébranlent jusqu’à cesser d’en être pour devenir des expériences. De celles dont on ne ressort pas indemnes. » En lire plus
« Douze acrobates, musiciens, danseurs et comédiens venus du Brésil, de Syrie, du Togo, d’Haïti ou de France débordent de vitalité pour nous conter des histoires. Par bribes, en fragments, en éclats. Des contes d’asservissement refusé, d’individus qu’on a voulu réduire au silence, mais qui, envers et contre tout, résistent et revendiquent. Leurs histoires aussi, parce qu’ils sont tous les autres. » En lire plus
« Ils sont jeunes, dynamiques, énergiques, leurs corps se balancent, se jettent dansle vide, ils s’échappent, de quoi, de qui ? d’une vie de misère, d’un conflit armé,pas faciles de vivre sa jeunesse dans ses conditions. » En lire plus
« In « Les bords du monde » hört man die Schreie, den Gesang von Ahmad, einem Syrer, der vor Krieg und Verfolgung fliehen musste. Abdul, ein Marokkaner, erzählt, wie er die Schule schon mit 14 Jahren verlassen musste, weil die Eltern seine Bildung nicht mehr bezahlen konnten. » En lire plus
« Un otto marzo davvero unico per la città degli amaretti che al teatro Pasta ha visto in scena “Les bords du monde” uno spettacolo di Teatro-Azione con attori provenienti da diversi paesi su migrazioni e non solo. Tra gli attori sei giovani che appartengono al gruppo Pé no Chao, educativa di strada di Recife. » En lire plus
« Artisti delle favelas del Brasile, della Siria, delle zone periferiche del Marocco, del Togo o dellaCosta d’Avorio, per uno spettacolo innovativo, che supera i confini tra culture, lingue e discipline.Artisti da tutto il mondo, guidati da un’energia collettiva che scuote e colpisce il pubblico europeo,come nel caso delle ultime performance: “Le soleil juste aprés” o “Magie Noire”. » En lire plus
« Ils viennent des favelas du Brésil, des rues du Togo, des quartiers périphériques du Maroc et d’Haïti, de la Syrie. Leurs univers artistiques originels sont pluriels : théâtre, danse, musique et cirque. Ils ont en commun l’énergie et la rage de vivre. » En lire plus
« Dans la salle en pierre du Théâtre de l’Épée de bois Laurent Poncelet explore les mille et une fa- çons de se révolter. Entourés d’une troupe d’artistes pluri-disciplinaires « Les bords du monde » s’avère être une cartographie vivante des inégalités du monde, le cri conjoint de tous les exclus, les rejetés, les réfugiés, les oubliés. » En lire plus
« Les bords du monde. Large thème pour une création qui, à partir d’improvisations, d’histoires personnelles et d’identités mêlées, explore le collectif, la traversée des frontières, et tout ce que le travail a jugé bon de faire apparaître. » En lire plus
« Lutte et harmonie sont les deux piliers originaux de cette démonstration de force canalisée, orientée dans une direction positive. Il en résulte un spectacle intense tant du point de vue de la musique, de la danse et du texte que de l’émotion qui s’en dégage. » En lire plus
« Les Bords du monde, créé en partenariat avec la Compagnie buissonnière, rassemble des artistes venus de Syrie, des favelas brésiliennes, du Togo, du Maroc ou encore de Côte d’Ivoire, balayant les frontières entre les cultures et libérant une énergie qui soulève le cœur et l’esprit, qui décape et bouscule. »En lire plus
« S’affranchir : des regards, des humiliations, de la dictature ; par la colère, le pathétique, la joie parfois, le partage toujours. Bonheur de voir ce patchwork humain, soudé par la sueur et une même quête. Celle des refoulés qui frappent à la porte, avec leurs cris, leur danse, leur crane s’il le faut. » En lire plus
« Balayant les frontières entre les cultures, les langues et les disciplines, Les bords du monde explore les thèmes de l’exil, des migrations, des barrières géographiques ou sociales. » En lire plus
Les Bords du monde : les rois du monde surtout ! Après les claques Magie Noire et Le Soleil juste après, le metteur en scène grenoblois Laurent Poncelet a de nouveau conçu un spectacle bondissant et énergique avec de jeunes interprètes venus des quatre coins du monde, de ses bords… En lire plus
« Pour Dieuvela Etienne, la chorégraphe, ce spectacle est une nécessité pour honorer les mythes et légendes de son pays.. » En lire plus
« .. Pour que le théâtre soit aussi un espace de confrontation , de lien social, et de dialogue avec les habitants pour tous et par tous, de nombreuses rencontres sont programmées avec les équipes artistiques .. » En lire plus
« Fita : aborder les aléas du monde avec humour et poésie
Convaincu du rôle essentiel que joue le spectacle vivant dans nos sociétés… « En lire plus
« Laurent Poncelet : « Nous avons une démarche militante »
Sept pays se retrouvent pour onze spectacles durant le FITA, à Grenoble et dans l’agglo. »
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« Que le théâtre ait un impact dans la vie des quartiers.
Le Festival International de Théâtre Action revient cette année sous le signe de l’immigration … » En lire plus
« (…) la manifestation (…) est un rendez-vous important et populaire avec son QG, l’Espace 600, situé au cœur du quartier dit défavorisé de la Villeneuve. (…) » En lire +
“(…) Qui, à La Sapinière ou à L’Oiseau bleu, avait déjà entendu parler de cette île d’Haïti que beaucoup confondaient avec Tahiti ? Dans les locaux de l’association France-Maghreb, au pied des tours immenses du quartier de La Villeneuve à Grenoble, on a anticipé l’erreur diplomatique en accrochant au mur une carte de ce petit pays. Comme partout où elles sont invitées, Dieuvela et ses camarades parlent du rara, cette danse d’hommes qu’elles ont choisi d’interpréter.(…)” En lire +
« Aux confins du théâtre et de la danse, Magie Noire se veut un hymne à la vie. Metteur en scène emblématique de la région Rhône-Alpes, Laurent Poncelet a monté Magie Noire avec de jeunes artistes d’une favela brésilienne de Recife. Un spectacle hors norme et bouleversant où se mêlent théâtre, danse et musique. » En lire +
« (…) Le Cri met en scène des hommes et des femmes blessés, en se basant seulement sur les textes et sans en transformer les textes. L’auteur et metteur en scène Laurent Poncelet a sélectionné des passages parlant de révoltes, de détresse, mais aussi de courage et d’amour, de tout ce qui fait l’humanité.(…) ». En lire +
« De leurs pas répétitifs, les danseurs et circassiens de l’Ophélia Théâtre piétinent avec rage leur peur et leur douloureux passé. (…) » En lire +
« Ils viennent des favelas du Brésil, des bidonvilles du Maroc ou des rues de Lomé. (…) Différentes langues envahissent le plateau avec des mots lancés comme des uppercuts. Un hymne à la vie d’une énergie vitale » En lire +
Théâtre Action – pléonasme
« Le théâtre-action, ça devrait aller de soi, cette affaire là. Limite pléonastique. Du genre cinéma-vision ou cuisine-délice, pourrait-on dire. Alors, quid ? Est-ce que le théâtre n’agit plus guère dans nos sociétés média-mondialistes ? Est-ce parce que les autorités artistiques ont particulièrement bien travaillé à sa vanité ? » En lire +
L’action aux sources du théâtre
« (…) Il en va ainsi tous les jours pendant toute la durée du festival, les rencontres se succèdent. La veille, ce sont les comédiennes de Èves…qui, au foyer de l’Oiseau bleu, ont échangé sur la condition de al femme au 20éme siècle (…). Tandis que le lendemain, Valéry N dongo, auteur du one-man show « Bienvenu O Kwatt ! » avait rendez-vous dans quelques écoles de la ville de Grenoble, pour s’entretenir avec le enfants sur les difficultés à appréhender la culture de l’autre (… )» En lire +
« Magie Noire saisit cette énergie vibrante et combattive […]. Chaque mouvement semble empli d’une conscience troublante. Simplement, eux savent : dans la réalité le cadavre de la veille est toujours un frère, un cousin, un ami, un proche. » En lire +
Une marionnette pour parler des enfants-soldats
« Ce spectacle entretient une réflexion sur deux sujets sensibles de la scène internationale, le partage de l’eau et les enfants-soldats. Une œuvre qui trouve toute sa place dans le festival de théâtre action. » En lire +
Le FITA, le théâtre effervescent
« Porté par la Compagnie Ophélia de Grenoble, le Festival international du théâtre action (FITA) est un bouillonnement de vie. Il décloisonne les esprits et les disciplines, mêle l’artistique et le social pour faire renaître les liens entre culturel et populaire, pour une véritable démocratie culturelle. A quelques mois de la prochaine édition, l’excitation monte. » En lire +
FITA Rhône-Alpes : théâtre action au menu
« (…) C’est un festival unique en son genre parce qu’il s’appuie sur des acteurs de terrain, associations et structures d’action sociale, pour assurer une diffusion vers un public d’une grande mixité sociale, culturelle, et générationnelle (…) » En lire +
Le théâtre est un combat
« (…) l’autre combat du FITA, c’est de rapprocher la population du spectacle vivant, de faire en sorte que la culture s’empare des questions brûlantes d’aujourd’hui pour impacter sur la cité. (…) » En lire +
10 ans dédiés au théâtre dans la cité
« Porté par la compagnie grenobloise Ophélia Théâtre, le Festival international de théâtre action (FITA) se déroulera du 13 novembre au 2 décembre. Une trentaine de salles iséroises et rhônalpines accueillera quinze spectacles internationaux dont la moitié sont des créations. Une quarantaine de représentations et près de cinquante rencontres entre les artistes et les habitants sont prévues pour célébrer les 10 ans de l’événement. Autant d’occasions de débattre de thématiques politiques et sociales fortes. » En lire +
Lutter contre l’oubli.
« Une douzaine de spectacles créés par des artistes de France, d’Algérie, d’Italie, de Syrie, du Sénégal, de Belgique, du Rwanda, du Congo, du Cameroun, du Bénin… seront présentés dans le cadre du Festival international de théâtre action (Fita), du 12 au 23 novembre, à Grenoble, en Isère et au delà. Une occasion unique de découvrir des pièces engagées, qui nous parlent des conflits, des luttes et des oppressions à travers le monde » En lire +
Avoir un impact dans la cité
« (…) Laurent Poncelet est un être affable qui sait défendre son bifteck avec conviction : oui, son Festival international de théâtre-action (dit Fita) est, depuis dix ans, l’un des événements phares de la vie culturelle de l’agglo.(…) » En lire +
Un combat contre l’oubli
Trois questions à Laurent Poncelet, organisateur du Fita et directeur de la compagnie Ophélia Théâtre. En lire +
« Laurent Poncelet et la Cie Ophelia Théâtre qu’il dirige mène depuis une quinzaine d’année avec le groupe mange-cafard une démarche de création collective inspirée du grand metteur en scène Pippo Delbonno (…) » En lire +
« Une proposition théâtrale enlevée, notamment au niveau du texte né des diverses improvisations menées avec les Mange-Cafard. Le metteur en scène en a sorti le meilleur : devenant grinçant certains moments, très ironique et drôle d’autres fois,(…) il n’hésite pas à se confronter à la noirceur la plus sombre, mettant ses personnages littéralement au pied du mur, et évitant ainsi toute once de démagogie dans le rendu – mais néanmoins toujours avec tendresse. Portées par des êtres sincères (…), ces tranches de vie dans un quartier abandonné par la société n’en deviennent finalement que plus touchantes, car ancrées dans une réalité prégnante. » En lire +
« Il fallait oser. Mais avec une telle passion chevillée au corps, Laurent Poncelet, directeur et metteur en scène de la Compagnie grenobloise Ophélia Théâtre, ne craint pas de soulever des montagnes. Dans son dernier spectacle Le Cri […] – c’est même un monument – la Bible – qui lui donne des ailes. Source d’inspiration, ce texte (ou plutôt ces textes) porte sept comédiens-danseurs dans un tourbillon de vie. Ou l’on entend un souffle d’humanité. » En lire +
« La nouvelle création de Laurent Poncelet […] a carrément de la gueule […]. La force de ce spectacle est avant tout qu’il se suffit à lui-même : une proposition d’une extrême générosité, loin du misérabilisme – ou inversement du folklorisme – auxquels on pouvait s’attendre avec un tel sujet. » En lire +
« C’est une claque. Elle fait mal et revient comme un boomerang. La dernière création de la compagnie grenobloise Ophélia Théâtre a décidé de tout bousculer : la danse, qui devient transe, la musique qui sonne la lutte, et le théâtre, qui élève les sens. Magie Noire, c’est un tourbillon. Brûlant de vie et de douleur. Débarqué des favelas du Brésil, le spectacle laissera son empreinte dans une Isère jusque là tranquille. » En lire +
« Une belle performance doublée d’un message politique fort. […] Les corps virevoltent, sautent ou se contorsionnent et offrent une démonstration physique bluffante. […] L’histoire de Magie Noire se confond avec leur propre vie, d’où la force de la représentation. » En lire +
« Par son interprétation des textes de Bobin, [Laurent Poncelet] permet de poser un autre regard sur la personne et la fragilité de la vie. C’est une pièce pour tous, car c’est avant tout un hymne à la vie dont il est question, de la beauté de la relation humaine par-delà la sénescence de celui qui part peu à peu. » En lire +
« (…) Sur scène, les trois artistes – Laurent PONCELET lui-même, accompagné d’Élise MOUSSION, comédienne et chanteuse, et d’Emmanuelle THIL, chanteuse et musicienne – parviennent remarquablement bien à restituer toute la force de l’écriture de Christian BOBIN, sa capacité à parler de la fragilité, de l’exclusion, et en même temps de révéler la grâce qui peut émaner des personnes les plus diminuées. (…) » En lire +
À la croisée des arts du mouvement, du théâtre et de la musique, cette pièce est une ode à la vie, dans tout ce qu’elle a d’injuste et de magnifique. On est ébloui par les performances de ces interprètes, autant que par leur générosité et leur énergie communicative. Une fois encore, avec cette création dans la lignée directe du théâtre action, Laurent PONCELET a réussi à nous convaincre et à nous toucher. En lire +
Saint-Martinois devenu Grenoblois, Laurent Poncelet s’est fait un nom dans le spectacle vivant. Dimanche après-midi, sa dernière création, Le Soleil juste après, marquera de son empreinte le festival des Rencontres sociales et le centre culturel Pablo-Picasso d’Homécourt. Mais la tournée ne s’arrêtera pas là puisqu’après un passage par le Luxembourg, la dernière étape est prévue en avril à Mont-Saint-Martin. En lire +
« Le travail chorégraphique autour de cette idée de rapidité, d’urgence, est remarquable, avec notamment une recherche sur la transe (…). Laurent Poncelet a monté « Le soleil juste après » en écoutant leurs histoires, leur vécu ; en n’édulcorant rien mais en transformant cette matière en spectacle. (…) En résulte, une création enthousiasmante, portée par une équipe généreuse, qui fait un bien fou. Une réussite. » En lire +
« Présenté dans le cadre du Festival international de théâtre action, le spectacle « Hold on » de la compagnie Le Laabo est une brillante analyse du monde du travail actuel et de sa standardisation à outrance. Une analyse menée avec une approche presque chorégraphique et non dénuée d’humour qui fait toute sa force. Rencontre avec la metteuse en scène Anne Astolfe »